Last updated on 30 juin 2022
Le signifiant unitaire de la recherche fondamentale du CRPPC est LA SYMBOLISATION, SA CLINIQUE ET SES PSYCHOPATHOLOGIES. Cette recherche fondamentale est constante depuis 1990 mais apparaît sous des formes sans cesse renouvelées, qui concernent la modélisation des processus de symbolisation. La thématique de la symbolisation fédère nos recherches en créant une véritable synergie entre les différentes thématiques abordées par les chercheurs. Par ailleurs, le centre de recherche travaille sur la thématique de la symbolisation avec de nombreux collègues dans les échanges internationaux, ce qui constitue un des repères qui confèrent au CRPPC son rayonnement international : symbolisation est d’ailleurs devenu un signifiant clef associé aux recherches de ce qu’on a coutume d’appeler désormais « l’école lyonnaise ».
Le point commun des recherches consiste à proposer, à partir du concept de symbolisation et des modèles afférents élaborés par le CRPPC, un remodelage des paradigmes de la psychopathologie contemporaine, qui relèvent notamment des pathologies graves du narcissisme et des « situations limites et extrêmes » de la subjectivité. Les théorisations des formes contemporaines de la psychopathologie issues de ces recherches sont en articulation étroite avec des recherches fondamentales sur la modélisation et l’évaluation des différents dispositifs de soin, qui concernent à la fois les dispositifs de soin existants et la création de nouveaux dispositifs adaptés à ces cliniques de l’extrême. La problématique d’ensemble du CRPPC consiste ainsi à explorer les formes fondamentales de la psychopathologie, à l’appui de la modélisation des différents dispositifs de soin, et à proposer un remodelage des modèles, pour pouvoir penser ces cliniques difficiles et l’ajustement de leurs cadres de soin.
Au vu de sa fécondité générative, le concept fédérateur de Processus de Symbolisation reste le support de la recherche fondamentale du CRPPC référée à la métapsychologie psychanalytique, mais il est perpétuellement renouvelé de différentes façons, par exemple, durant ce dernier quinquennat, par la modélisation novatrice de critères cliniques d’évaluation des processus de symbolisation, dans les formes de psychopathologies contemporaines et au sein des dispositifs de soin conçus pour les prendre en charge.
Les publications de recherche fondamentale concernent notamment le développement de la théorie de la symbolisation, en particulier de ses premières formes, et la conceptualisation d’une théorie générale des dispositifs de soin. Une place importante est donnée aux interfaces de la psychologie avec d’autres champs, comme la psychologie du développement, la biologie, notamment les neurosciences, et les sciences du champ social. Un des axes majeurs des travaux actuels vise à ne pas cantonner la clinique et sa théorisation dans le seul champ de la métapsychologie mais à ouvrir un dialogue épistémologique avec d’autres disciplines.
Le point d’articulation central de nos recherches consiste à envisager les conséquences de l’évolution des formes cliniques contemporaines sur les modèles de la psychopathologie. Le CRPPC propose ainsi de nouvelles modélisations des paradigmes de la psychopathologie selon trois perspectives : celle des différentes formes et spécificités de la symbolisation selon les âges de la vie, celle de l’articulation d’approches issues des sciences sociales avec la psychologie clinique, et enfin celle de la construction d’un modèle plurifocal des pathologies à forme d’expression somatique, avec une prise en compte du langage du corps et de l’acte dans les processus de symbolisation (nombre de recherches portent sur les pathologies du somatique et la psychopathologie de l’acte, notamment violent et criminel).
Les enjeux de ces recherches relatives au remodelage des paradigmes de la psychopathologie contemporaine, concernent donc trois grandes directions : la modélisation des processus de symbolisation, l’exploration du travail du négatif et des formes de désymbolisation, (comme la réaction thérapeutique négative, la destructivité et les affects extrêmes qui caractérisent les pathologies graves du narcissisme, les cliniques de la honte du handicap de l’inceste, ou encore la clinique des états limites...), et enfin les apports de la clinique des crises et moments mutatifs : bébé, adolescent, grand âge, dans la modélisation des différentes formes de pathologie adulte et des dispositifs de soin. Ensuite, la mise en place durant ce quinquennat des recherches sur l’évaluation qualitative des psychothérapies psychanalytiques et des dispositifs, notamment groupaux et institutionnels, a contribué à une approche critique des dispositifs de soin et au remodelage des paradigmes des différentes pathologies accueillies dans ces dispositifs.
Le point commun des recherches consiste à proposer, à partir du concept de symbolisation et des modèles afférents élaborés par le CRPPC, un remodelage des paradigmes de la psychopathologie contemporaine, qui relèvent notamment des pathologies graves du narcissisme et des « situations limites et extrêmes » de la subjectivité. Les théorisations des formes contemporaines de la psychopathologie issues de ces recherches sont en articulation étroite avec des recherches fondamentales sur la modélisation et l’évaluation des différents dispositifs de soin, qui concernent à la fois les dispositifs de soin existants et la création de nouveaux dispositifs adaptés à ces cliniques de l’extrême. La problématique d’ensemble du CRPPC consiste ainsi à explorer les formes fondamentales de la psychopathologie, à l’appui de la modélisation des différents dispositifs de soin, et à proposer un remodelage des modèles, pour pouvoir penser ces cliniques difficiles et l’ajustement de leurs cadres de soin.
Au vu de sa fécondité générative, le concept fédérateur de Processus de Symbolisation reste le support de la recherche fondamentale du CRPPC référée à la métapsychologie psychanalytique, mais il est perpétuellement renouvelé de différentes façons, par exemple, durant ce dernier quinquennat, par la modélisation novatrice de critères cliniques d’évaluation des processus de symbolisation, dans les formes de psychopathologies contemporaines et au sein des dispositifs de soin conçus pour les prendre en charge.
Les publications de recherche fondamentale concernent notamment le développement de la théorie de la symbolisation, en particulier de ses premières formes, et la conceptualisation d’une théorie générale des dispositifs de soin. Une place importante est donnée aux interfaces de la psychologie avec d’autres champs, comme la psychologie du développement, la biologie, notamment les neurosciences, et les sciences du champ social. Un des axes majeurs des travaux actuels vise à ne pas cantonner la clinique et sa théorisation dans le seul champ de la métapsychologie mais à ouvrir un dialogue épistémologique avec d’autres disciplines.
Le point d’articulation central de nos recherches consiste à envisager les conséquences de l’évolution des formes cliniques contemporaines sur les modèles de la psychopathologie. Le CRPPC propose ainsi de nouvelles modélisations des paradigmes de la psychopathologie selon trois perspectives : celle des différentes formes et spécificités de la symbolisation selon les âges de la vie, celle de l’articulation d’approches issues des sciences sociales avec la psychologie clinique, et enfin celle de la construction d’un modèle plurifocal des pathologies à forme d’expression somatique, avec une prise en compte du langage du corps et de l’acte dans les processus de symbolisation (nombre de recherches portent sur les pathologies du somatique et la psychopathologie de l’acte, notamment violent et criminel).
Les enjeux de ces recherches relatives au remodelage des paradigmes de la psychopathologie contemporaine, concernent donc trois grandes directions : la modélisation des processus de symbolisation, l’exploration du travail du négatif et des formes de désymbolisation, (comme la réaction thérapeutique négative, la destructivité et les affects extrêmes qui caractérisent les pathologies graves du narcissisme, les cliniques de la honte du handicap de l’inceste, ou encore la clinique des états limites...), et enfin les apports de la clinique des crises et moments mutatifs : bébé, adolescent, grand âge, dans la modélisation des différentes formes de pathologie adulte et des dispositifs de soin. Ensuite, la mise en place durant ce quinquennat des recherches sur l’évaluation qualitative des psychothérapies psychanalytiques et des dispositifs, notamment groupaux et institutionnels, a contribué à une approche critique des dispositifs de soin et au remodelage des paradigmes des différentes pathologies accueillies dans ces dispositifs.